L'inconscient permet-il autant que la conscience de définir l'homme? Une machine tombe en panne, une personne tombe malade, ces deux événements sont-ils de même nature ? La duplicité de la conscience rend-elle inutile l'hypothèse de l'inconscient ? La science peut-elle nous apprendre nos devoirs ? La technique n'est-elle qu'une application des connaissances scientifiques ? La Science permet-elle de tout comprendre ? Le besoin de justice n'exprime-t-il que la jalousie des déshérités ? Peut-on dire que le vrai est ce qui réussit ? Où trouver la force de vaincre ses passions ? Sur quoi peut se fonder la conviction d'avoir raison ? Sommes-nous en mesure de déceler nos propres préjugés et de nous en délivrer ? Pourquoi est-il plus difficile d'être objectif lorsqu'on étudie l'homme que lorsqu'on étudie la nature ? J'ai légèrement extrapolé, pardon si ce n'est pas ta pensée. Dois-je tenir compte de ce que font les autres pour orienter ma conduite ? Faut-il rendre les hommes libres ou égaux ? Une langue bien faite mettrait-elle fin à toute discussion ? La liberté n'est-elle que l'ensemble des droits ? La sensibilité aux oeuvres d'art demande-t-elle à être éduquée ? En quel sens peut-on dire de l'histoire qu'elle est un mythe ? La pensée obéit-elle toujours à « la logique », ou y a-t-il sens à parler de plusieurs logiques ? Peut-on venir à bout d'une croyance par le raisonnement ? L'amour de soi peut-il ne pas être coupable ? La conscience morale ne provient-elle que de l'épreuve de la faute ? Faut-il regretter que la langue soit équivoque ? Cliquez ici pour révoquer votre décision. L'illusion s'opoose-t-elle à la réalité ? Dans quelles limites peut-on admettre un « droit à la différence » ? Pourquoi ce qui nous déplaît dans la vie nous plaît-il dans une oeuvre d'art ? Le temps libre est-il le temps de notre liberté ? Le sentiment religieux implique-t-il la croyance en un être divin ? Mieux vaut se perdre dans la passion qu'avoir perdu toute passion. Le mot vérité a-t-il un sens au singulier ou au pluriel ? L'homme est sujet connaissant. Peut-on être à la fois libre et passionné ? La beauté est-elle une promesse de bonheur ? Peut-on accepter la loi de la majorité si l'on refuse la loi du plus fort ? L'art vous semble-t-il être « une révolte contre la tyrannie du désir » ? Le temps n'est-il qu'une succession d'instants ? Peut-on nous reprocher une faute de goût ? N'y a-t-il que le présent qui soit digne d'estime ? La justice ne relève-t-elle que de l'Etat ? Est-on d'autant plus libre qu'on agit davantage en connaissance de cause ? La pensée est-elle une activité assimilable à un travail ? Quelle valeur conférer à l'opinion vraie ? L'amour de la vérité peut-il faire obstacle au jugement ? La connaissance scientifique progresse-t-elle par l'accumulation des faits ? Peut-on dire qu'un événement historique est à la fois nécessaire et imprévisible ? L'évolution de la science modifie-t-elle les principes de l'action ? Parler, n'est-ce pas toujours en un sens donner sa parole ? Le plaisir du citoyen, y inscririez-vous le droit au bonheur? L'exercice de la philosophie contribue-t-elle au développement de la raison ? Pensez-vous que le désir soit le propre de l'homme ? Imaginez qu'un philosophe charismatique et bienveillant vous pose la question. A quelles conditions une expérience est-elle scientifique ? La connaissance nous éloigne-t-elle de la vie ? Les beaux-arts ne s'adressent-ils qu'à la vue et à l'ouïe ? L'art nous révèle-t-il quelque chose du réel ? Pourquoi le progrès scientifique n'a-t-il pas fait disparaître la superstition ? Il n'est pas bon d'avoir toutes les nécessités. Qu'est-ce que je perds quand je perds mon temps? Admettre l'existence de l'inconscient est-ce rendre vain tout effort de lucidité à l'égard de soi-même ? Luc Ferry "Qu'est-ce qu'une vie réussie ? Peut-on à la fois exploiter la nature et libérer l'homme ? La philosophie peut-elle s'accorder avec la religion ? Lorsque la vérité dérange, faut-il lui préférer l'illusion qui réconforte? Peut-on penser la vie sans référence à la mort ? La raison est-elle génératrice de violence ? La raison humaine est-elle, par nature, conduite à supposer dans le monde plus d'ordre qu'elle n'en trouve ? Dans quelle mesure peut-on distinguer chez l'homme besoins naturels et besoins artificiels ? Elle est elle-même un problème. Etre libre, est-ce n'obéir qu'à soi-même ? Autrui est-il limite ou condition de ma liberté ? Les devoirs de l'homme varient-ils selon les cultures ? Comment peut-on être sûr d'avoir raison ? Et les mots pour le dire arrivent aisément » ? Et donc il n'y a d'autres vies réussies que celles ou on s'éclate. Ce qui appartient à l'histoire est-il, par là même, inactuel ? Ce qui ne peut s'acheter est-il dépourvu de valeur ? La mort ajoute-t-elle à la valeur de la vie ? Pour pardonner il faut comprendre; mais suffit-il de comprendre pour pardonner ? La méthode est-elle nécessaire aux sciences ? La raison d'être de l'État est-elle de garantir la sécurité du citoyen ? Un mythe ? L'explication scientifique de l'homme est-elle incompatible avec l'affirmation de la liberté humaine ? Lorsque l'on dit : « L'histoire jugera », suppose-t-on que l'histoire acquitte ou condamne d'un point de vue moral ? Est-ce que l'attention est la caractéristique essentielle de la conscience ? En quel sens est-il juste de dire que l'on ne possède vraiment que ce que l'on comprend ? Peut-on concevoir le droit sans devoirs ? Le travail peut-il légitimer la richesse ? La liberté est-elle possible en dehors d'un cadre social ? L'apparence est-elle toujours trompeuse ? Est-ce le doute ou la certitude qui constitue l'état d'esprit du savant ?  Mais si le sens de la vie consiste dans le plaisir que l'on peut retirer d'une activité quelconque, je trouve que c'est assez mesquin. Une éducation des passions est-elle possible ? Les sciences politiques nous dispensent-elles de la réflexion politique ? La causalité dérive-t-elle de l'expérience ou en est-elle la condition  ? L'homme n'est-il qu'une espèce naturelle ? La liberté de l'homme se réduit-elle à l'absence de contraintes extérieures ? Est-ce au réel que les mathématiques ont affaire ? La tradition est-elle toujours une forme d'asservissement à un passé révolu ? Le projet de devenir « maître et possesseur de la nature » a-t-il encore un sens de nos jours ? Peut-il y avoir une science de l'inconscient ? Tous les sujets de dissertation et tous les commentaires de texte pour les classes de terminales en philosophie. Quels moyens avons-nous d'imaginer l'avenir ? Respecter autrui, est-ce s'interdire de le juger ? Autrui peut-il être pour moi autre chose qu'un obstacle ou un moyen ? Faut-il dire avec Voltaire que « la liberté consiste à ne dépendre que des lois » ? Peut-on donner pour fin à la réflexion philosophique la recherche du bonheur ? L'art est-il une imitation de la nature ou une création ? Du droit ou de la force, lequel est un moyen pour l'autre ? Qu'est-ce qui fait la vérité d'une idée scientifique ? Ceci s’explique par le fait que, dans le cadre de l Est-ce sous l'effet d'une illusion que l'on se donne pour fin l'intérêt général ? Le mot « loi » a-t-il le même sens selon qu'on parle des lois de la cité ou des lois de la nature ? Commentez ces mots de Malraux (Les voix du silence) : « L'obscur acharnement des hommes pour recréer le monde par l'art n'est pas vain, parce que rien ne redevient présence, au-delà de la mort, à l'exception des formes recréées ». La justice est-elle compatible avec l'efficacité ? L’homme vit avec la conscience qu’il ne pourra pas revivre ce qu’il a vécu. Le temps est-il ce qu'il y a de plus précieux pour le philosophe ? L'emploi du mot « raison » est-il légitime dans l'expression « la raison d'Etat » ? Un homme peut-il être indifférent à l'art ? Que pensez-vous de cette remarque d'un historien : « Toute histoire est histoire contemporaine » ? Dans quelle mesure la morale doit-elle prendre en compte la réalité politique ? L'exercice du pouvoir est-il corrupteur ? Communiquer, est-ce essentiellement transmettre des informations ? Car ce qui fait qu’une vie est réussie, ce n’est pas sa longueur mais son contenu. Y a-t-il une opposition absolue entre la justice et l'injustice ? La technique peut-elle être tenue pour la forme moderne de la culture ? Peut-on exercer sa liberté sans prendre de risques ? L'absence de douleur suffit-elle à définir le plaisir ? Dans quelle mesure est-il nécessaire d'imaginer pour connaître ? On parle des « droits de l'homme ». En quel sens l'« économique » est-il aussi politique ? Résister à la répression, est-ce un droit naturel ? L'histoire de l'humanité justifie-t-elle une réflexion philosophique? Faut-il renoncer à s'interroger sur ce qui est hors de portée de la connaissance scientifique ? La philosophie a-t-elle un objet propre ? Qu'est-ce qu'une vérité qui change avec le temps ? L'émotion est-elle constitutive du sentiment esthétique ? Faut-il accorder le moins possible à l'Etat ? Que veut-on dire quand on parle de « sens de l'histoire » ? Les événements historiques sont-ils, par nature, imprévisibles ? Je ne vois pas où j'aurais parlé de cadeau. Une communauté scientifique n'est-elle qu'une communauté d'intérêts ? Peut-on comparer l'histoire de l'humanité à l'histoire d'un homme? Quelle signification faut-il donner à l'idée de l'égalité entre les hommes ? — aux autres hommes qui passeraient par là, je suis désolée pour le sexisme de ma remarque ; j'essaie de m'adapter au niveau de mon interlocuteur. La domination de la nature par l'homme, est-elle indissociable d'une domination sur les hommes ? Quels sacrifices l'Etat est-il en droit de nous demander ? Le biologiste peut-il prétendre connaître la vie en étudiant les êtres vivants ? Suffit-il qu'une proposition soit logique pour qu'elle soit vraie ? Les valeurs morales sont-elles relatives ? Non recommandé sur les ordinateurs partagés, Docteur Honoris Causa Es "Patati & Patata..."‚. Peut-il être aussi objet connu ? La science peut-elle tenir lieu de sagesse ? Peut-on penser philosophiquement la pluralité des philosophies ? Les sciences économiques peuvent-elles échapper à l'idéologie ? Les concepts de l'historien sont-ils eux-mêmes historiques ? La compétence suffit-elle à fonder l'autorité ? En quel sens peut-on parler de beauté morale ? Sentir c'est savoir qu'on sent, et savoir, c'est percevoir. Tous les problèmes peuvent-ils avoir une solution technique ? Faut-il reprocher à la philosophie d'être inutile ? Que pensez-vous de cette affirmation d'un auteur contemporain : « Le passé n'est jamais mort. La philosophie doit-elle aller contre le sens commun ? L'avenir a-t-il plus de valeur que le présent ? Le savoir peut-il être source de plaisir ? Chacun voit midi à sa porte. L'objectivité est-elle possible en histoire ? Pourquoi autrui rencontre-t-il autant de difficultés pour reconnaître à ma liberté le pouvoir de me soustraire à son emprise ? L'imagination enrichit-elle la connaissance ? Quelle est l'origine de la jouissance esthétique ? Peut-on dire que la société constitue une entrave à l'épanouissement de l'individu ? L'erreur peut-elle jouer un rôle dans la connaissance scientifique ? La technique ne donne-t-elle aux hommes qu'un pouvoir ? Qu'est-ce qui distingue ce qui est naturel de ce qui est artificiel ? La certitude est-elle un critère de vérité ? × L'homme ne doit-il pratiquer et défendre la justice que dans la seule crainte de subir les conséquences de l'injustice ? Croire est-ce renoncer à l'usage de la raison ? Le droit se fonde-t-il sur la réciprocité ? En quel sens peut-on dire d'une oeuvre d'art qu'elle est vraie ? La prise en compte des différences culturelles vous paraît-elle remettre en question l'existence de valeurs universelles ? Y a-t-il des valeurs universelles ou toute valeur est-elle particulière ? La conscience me fait-elle connaître que je suis libre ? Pourquoi les mots ont-ils plusieurs sens ? Est-il toujours possible de faire la différence entre travail et divertissement ? Cette notion a-t-elle un fondement philosophique ? Le progrès de la science fait-il celui de la conscience ? Si l'on dit « à chacun sa vérité », le mot vérité garde-t-il un sens ? Si nos croyances ne reposent sur rien de certain, d'où vient-il alors que nous persévérons dans nos croyances ? Faut-il dire des sciences de l'homme qu'elles peuvent être « inhumaines » ? La vérité est-elle un droit ou un devoir ? Que veut-on dire en parlant de lois de la nature ? Pour goûter une oeuvre d'art, faut-il être cultivé ? Peut-on dire d'un acte qu'il est inhumain ? La liberté consiste-t-elle à accepter la nécessité ? Peut-on dire: « La vie n'est pas belle, les images de la vie sont belles » ? Est-il de l'essence de la vérité d'être impuissante ? L'intérêt d'une oeuvre d'art réside-t-elle dans sa beauté ? Qu'est-ce qu'expliquer un événement historique ? Le savoir me rend-il nécessairement libre ? L'obéissance aux lois asservit-elle l'homme ou le libère-t-elle ? Dans quelle mesure le savoir-faire est-il un savoir ? En quel sens parler d'une langue maternelle ? La science peut-elle se passer de métaphysique ? La science se propose-t-elle essentiellement de prévoir ? La fonction des images, dans l'art, est-elle de déborder les limites de la pensée claire ? Les différents sens du mot « idéalisme » relèvent-ils d'une même notion ? La recherche du bien commun est-elle le fondement et la limite de la souveraineté de l'Etat ? Y a-t-il un bon usage de la contradiction ? 4 Qu L'objectivité de la science est-elle moralement neutre ? Ne peut-on fonder l'espoir que sur une croyance religieuse ? L'histoire : ce qui arrive à l'homme ou ce qui arrive par l'homme ? L'amour de l'art est-il possible sans un savoir sur l'art ? Ce qui est imprévu était-il imprévisible? La raison peut-elle entrer en conflit avec elle-même ? Penser vrai est-il nécessaire pour agir bien . Une oeuvre d'art peut-elle nous apprendre quelque chose ? Quelle place doit avoir la réflexion philosophique dans la démarche scientifique ? La nécessité des échanges peut-elle ne pas entraîner la dépendance à l'égard d'autrui ? Tout pouvoir est-il nécessairement injuste ? Faut-il selon vous vivre d'abord et philosopher ensuite ? En quoi autrui représente-t-il un danger ? Suffit-il d'avoir raison pour convaincre autrui ? L'usage de la raison suppose-t-il le rejet de toute croyance ? Ne doit-on tenir pour vraie une proposition que si elle est contrôlable par une expérience ? La violence peut-elle être un remède à l'injustice ? Une société est-elle d'autant plus juste que l'ordre y règne ? Que signifie l'expression : « L'homme est un animal métaphysique » ? Le temps est-il essentiellement destructeur? Qu'est-ce qu'une vie réussie ? La raison aspire-t-elle naturellement au pouvoir ? En gros. La notion de finalité a-t-elle de l'intérêt pour le savant ? Aristote disait des mathématiques que leur noblesse est de ne servir à rien! Faut-il fixer des limites à l'esprit critique? L'homme est-il la mesure de toutes choses ? A quelles conditions le pouvoir de l'Etat est-il légitime ? Explication par la genèse et explication par la structure. De quoi avons-nous conscience lorsque nous disons : « le temps passe » ? Dépendre d'autrui, est-ce aliéner sa liberté ? L'historien peut-il faire l'économie d'un philosophie de l'histoire ? Jusqu'à quel point y a-t-il antagonisme entre liberté et sécurité ? Quelle certitude les sens nous apportent-ils ? La recherche du bonheur peut-elle être un esclavage ? Par quoi une approche scientifique de la réalité diffère-t-elle d'une approche philosophique ? Le bien et le mal sont-ils des conventions ? Un peuple sans mémoire peut-il être libre ? – Si quelqu’un me disait « j’ai réussi ma vie », je crois que je le verrais pour la dernière fois. La superstition est-elle l'affaire des sots ? Pour être libre, suffit-il de le vouloir ? L'Etat est-il appelé à disparaître un jour ? Qu'est-ce qui fait la valeur d'une oeuvre d'art ? La succession des théories scientifiques permet-elle de concevoir le progrès de la science comme une marche continue vers le vrai ? Comment expliquez-vous le désir de « remonter aux origines » ? Une oeuvre d'art est-elle un objet sacré ? Discuter cette réflexion d'un philosophe : « Il n'est pas bon d'être trop libre. Le travail est-il le lien le plus étroit entre l'homme et la réalité ? Juste elle-même. La perception est-elle déjà une science ? Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL. Que pensez-vous de ce jugement concernant la philosophie : « Sa fonction est de contester, mais son destin est d'être contestée » ? La guerre est-elle l'essentiel de toute politique ? Dans quelle mesure l'homme occupe-t-il une place particulière dans la nature ? En quoi la beauté artistique est-elle supérieure à la beauté naturelle ? Que pensez-vous de cette affirmation de Hegel : «  Les circonstances ou les mobiles n'ont jamais sur l'homme que le pouvoir qu'il leur accorde lui-même «  ? « On ne peut exiger en tout la rigueur mathématique ». Le savoir exclut-il toute forme de croyance ? Y a-t-il une unité des différents sens du mot « art » ? N'étant pas conçus pour l'éternité, il serait assez logique de considérer qu'une vie réussie serait une vie de transmission. Qu'est-ce qui, selon vous, peut le mieux unir les hommes : la raison, l'intérêt, ou le sentiment ? Quelles sont les différentes sortes de difficultés que nous pouvons rencontrer dans le dialogue ? Sur quoi ma conscience morale fonde-t-elle sa légitimité ? Le sentiment qu'a l'homme de sa précarité est-il le principal ressort de la foi religieuse ? En quel sens peut-on parler d'une rémunération juste ou injuste ? L'homme peut-il se considérer comme le maître de la nature ? La déraison a-t-elle quelque chose à nous apprendre ? A quelles conditions une passion est-elle bonne ? La liberté de chacun a-t-elle pour condition la liberté de tous ? » Cette réponse est-elle fondée ? Peut-on dire que ce sont les hommes qui font l'histoire ? La notion de nature est-elle une notion claire ? Les guerres sont-elles un effet de la nature des hommes ? Est-ce par amour de la vérité que l'homme recherche le savoir ? Revendiquer ses droits, est-ce la même chose que défendre ses intérêts ? L'historien peut-il se passer d'une philosophie ? Que signifie l'idée de progrès dans les sciences ? A quelles conditions peut-on qualifier un crime de « crime contre l'humanité » ? Si tout choix s'accompagne de renoncement, peut-on parler encore de liberté ? Quelles sont les différentes fonctions de l'Etat ? Faut-il être spécialiste d'un domaine pour en juger ? Y a-t-il un sens à juger une oeuvre d'art du point de vue moral ? Faut-il se demander si l'homme est bon ou méchant par nature ? Le bonheur dépend-il du régime politique sous lequel on vit ? Est-il nécessaire que l'histoire de l'humanité ait un sens pour que la vie d'un homme en ait un ? » ? Qu'est-ce que l'histoire des sciences peut apprendre aux philosophes ? Comprend-on mieux ce dont on connaît l'histoire ? La science et la perception ont-elles pour objet le même monde ? Le temps est-il en nous ou hors de nous ? Qu'est-ce que la jeunesse ? La connaissance scientifique n'est-elle qu'une croyance argumentée ? L'Etat n'impose-t-il l'obéissance que par la force matérielle ? En quel sens peut-on dire que le monde ne serait pas visible sans l'art ? Qu'est-ce que je sous-entends lorsque je parle d'autrui comme de mon « semblable » ? Prendre son temps, donner son temps : ces deux expressions signifient-elles que le temps est un bien personnel ? Peut-on être libre sans le secours de la raison ? ». La vie est un mouvement autotélique, à tous les sens du terme. L'exercice du pouvoir entraîne-t-il nécessairement l'abus de pouvoir ? L'idée d'égalité a-t-elle été inventée précisément parce que les êtres humains ne sont pas identiques ? L'art nous montre-t-il les choses telles qu'elles sont ? Faire ce qu'on veut, est-ce faire ce qui plaît ? Pourquoi la science veut-elle aller au-delà des apparences ? La notion d'une histoire du présent est-elle contradictoire ? La raison est-elle en droit de discuter la croyance ? Que signifie pour le savant la notion d'imprévisible ? Qu'est-ce que les techniques peuvent nous apprendre sur l'homme ? Existe-t-il des discours absolument explicites ? Le travail peut-il être l'expression de la dignité humaine ? L'oeuvre d'art est-elle l'oeuvre d'un génie ? Doit-on limiter le pouvoir de l'homme sur la vie ? La division du travail peut-elle être source d'unité sociale ? La réussite technique est-elle le critère de la vérité scientifique ? Y a-t-il des révolutions intellectuelles ? L'art, dit Paul Klee, ne reproduit pas le visible; il rend visible. Quelque chose peut-il jamais mériter qu'on lui sacrifie sa propre vie ? A chacun sa vérité. La maladie d'un être vivant est-elle comparable à la panne d'une machine ? Peut-on dire que les progrès de la connaissance scientifique approfondissent notre ignorance ? La conscience est-elle source d'illusions ? Est-on fondé à affirmer l'existence d'une conscience collective ? Le progrès historique est-il un mythe ou une réalité ? En quoi le pouvoir du peuple serait-il légitime ? En quel sens une oeuvre d'art peut-elle susciter notre intérêt ? Que pensez-vous de cette affirmation : « Qui pense beaucoup n'est pas apte à être homme de parti » ? Qu'est-ce qui fait d'un objet une oeuvre d'art ? La diversité des opinions conduit-elle nécessairement au scepticisme ? Une langue implique-t-elle une conception du monde ? La recherche du bien-être peut-elle être une fin morale ? Puis-je juger la culture à laquelle j'appartiens ? D'où vient que le progrès scientifique laisse subsister des croyances irrationnelles ? Puis-je à la fois affirmer que toutes les valeurs sont équivalentes, et vouloir combattre l'injustice ? Peut-on dire en toute rigueur qu'il existe une culture technique ? L'Etat est-il garant de la liberté de l'individu ? Les mathématiques ne sont-elles qu'un langage ? Peut-on dire de la connaissance scientifique qu'elle est désintéressée ? Arthur Schopenhauer. Qu'est-ce que se conduire raisonnablement ? Ou se libérer du désir ? Le travail est-il nécessairement le contraire du jeu ? Ça serrait bien que tu nous parles un français intelligible par tous .... C' est une vision de jouisseur  égoïste et égocentrique que tu proposes là . N'y a-t-il de connaissance que scientifique ? La fuite du temps est-elle nécessairement un malheur ? Des goûts et des couleurs, pourquoi ne pourrait-on pas discuter ? L'acte de se nourrir relève-t-il de la nature ou de la culture ? Est-il paradoxal de croire en la science ? Nous passons notre temps à croiser toutes sortes de gens. L'inégalité des hommes rend-elle impossible l'égalité des citoyens ? Le lien social est-il naturel ou conventionnel ? N'y a-t-il que ce qui dure qui ait de la valeur ? Toutes les inégalités sont-elles des injustices ? L'homme peut-il se contenter de travailler en vue du seul gain ? Si nous désirons être libres, qu'est-ce qui nous empêche de l'être ? L'expérience nous apprend-elle quelque chose ? L'homme pourrait-il vivre sans conscience du passé ? Est-il juste d'affirmer que l'activité technique dévalorise l'homme ? Etre de son temps » : Quel sens peut-on donner à cette expression ? L'éducation peut-elle avoir une autre fin que l'apprentissage de la liberté ? Peut-on sans se contredire, parler de « science de l'homme » ? L'humanité peut-elle se désintéresser de son passé ? La connaissance n'est-elle qu'un accroissement de notre pouvoir sur les choses ? Le progrès est-il compatible avec l'ordre' ? Peut-on parler à bon droit d'homme « sans culture » ? Les hommes doivent-ils travailler pour être humains ? Y a-t-il en l'homme des fonctions qu'il ne puisse déléguer à des machines ? Le langage est-il un tableau fidèle de la réalité ? La révélation de la vérité est-elle un devoir ? Sommes-nous responsables de ce que nous sommes ? Faut-il préférer la révolte à la résignation? En histoire, connaissons-nous le passé ou le rêvons-nous ? Comment les mathématiques, qui sont pourtant un produit de la pensée indépendant de l'expérience, rendent-elles compte si excellement de la réalité ? ». Comment distinguez-vous un jugement d'un préjugé ? Peut-on tenir pour vrai tout ce qui se présente comme évident ? Aimer, est-ce la même chose qu'être amoureux ? On pourrait croire qu'il ne s'agit qu'une simple scène de rencontre amoureuse, ce qu'elle est aussi. Les progrès de la connaissance scientifique sont-ils toujours dus à la pensée logique ? La publicité peut-elle être considérée comme un art ? Le devenir historique n'est-il qu'irrationnalité ? Notre volonté ne peut-elle jamais s'associer à nos désirs ? Etre libre, est-ce faire ce qui nous plaït ? Est-il vrai de dire que l'homme a des désirs quand l'animal n'a que des besoins ? Y a-t-il des concepts proprement philosophiques ? Sur quoi nos esprits peuvent-ils s'accorder ? Toute croyance est-elle dépourvue de valeur pour qui ne la partage pas ? Peut-on admettre l'idée d'un droit à la révolte ? Peuvent-elles aussi prétendre à la vérité ? Le politique est-il en droit de faire abstraction de la morale ? Le sens de ce que l'on dit se réduit-il à ce que l'on veut dire ? L'esprit religieux n'habite-t-il que les religions ? La connaissance s'interdit-elle tout recours à l'imagination ? A quelles conditions est-il possible de dialoguer ? En quel sens l'artiste a-t-il besoin de modèles ? Dans tout amour n'aime-t-on jamais que soi-même ? Les droits de l'homme : évidence ou problème ? L'histoire peut-elle nous donner des leçons de morale ? Quelle différence faites-vous entre liberté et licence ? Devons-nous nous méfier de nos certitudes ? Au nom de quoi peut-on reprocher à autrui d'être égoïste? Pourquoi la philosophie pose-t-elle la question : « Qu'est-ce que l'homme ? L'ouvre d'art nous éloigne-t-elle ou nous rapproche-t-elle du réel ? Le passé le plus important pour moi est-il celui de mes souvenirs personnels? Suffit-il d'être certain pour être dans le vrai ? La connaissance scientifique dissipe-t-elle la superstition ? La conscience du temps se réduit-elle à la conscience de la fuite du temps ? L'engagement politique est-il compatible avec la recherche philosophique ? Le fait de pardonner est-il contraire aux exigences du droit ? A quelles exigences doit-on satisfaire pour pouvoir affirmer : « Ce que je dis est vrai » ? Permets que la femme que je suis te conseille tout de même d'apprendre à lire une définition jusqu'au bout, voire à changer de dictionnaire ou même à jeter un coup d'œil à l'étymologie, quoi que ce mot soit féminin et que l'on puisse sans doute y voir quelque superficialité.
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